Ces stars mauvais élèves qui ont réussi !
Stars du cinéma, chanteurs, mais aussi écrivain, homme politique ou journalistes… Il n’est pas nécessaire d’avoir fait de grandes études pour réussir sa vie.
C’est la rentrée. Avec elle, le retour des devoirs, des examens et des fameuses notes… Sujet récurrent des dîners familiaux, il oriente l’ambiance du repas : une évaluation en dessous de la moyenne et c’est la cata. Pourtant, l’école n’est pas toujours le reflet de la vie future. La preuve, avec un diaporama de ces célébrités qui étaient de vrais cancres à l’école !
Johnny Depp, il arrête ses études pour être une star du rock
Rebelle dans l’âme, Johnny Depp l’est depuis sa plus tendre enfance. A 15 ans, il prend la décision que toutes mères redoutent : il quitte l’école pour se consacrer à son groupe de rock. Après avoir réussi à faire la première d’Iggy Pop, cette expérience s’avère très peu réussie… Le magazine American Life prétend même que dans son grand désespoir, le beau ténébreux aurait voulu reprendre ses études. La réponse de son proviseur aurait été sans appel : « Je vous conseille plutôt d’essayer de devenir une star !»
Son point fort ? Il n’est pas comme tout le monde… Repéré pour son rôle dans la série 21 Jump Street, le jeune Johnny ne veut pas qu’on le voit en gentil garçon : il choisi donc de s’éloigner de cette image et s’approprie des rôles tous plus déjantés les uns que les autres. D’Edward aux mains d’argent en passant Raul Duke dans Las Vegas Parano jusqu’au pirate Jack Sparrow … Une réussite pour cet artiste accompli et auquel désormais tout réussi.
Jean Paul Gaultier, le luxe de ne pas avoir son bac…
Il est connu et reconnu de tous. Jean Paul Gautier est aujourd’hui l’un des plus grands stylistes au monde. Pourtant, celui qui porte la marinière mieux que personne n’à même pas le baccalauréat en poche. Il s’est arrêté avant.
Son point fort ? C’est son audace qui lui permettra de percer dans le monde cruel de la mode : il envoi ses croquis à Pierre Cardin, qui tombe tout de suite sous le charme. Jean Paul n’a que 18 ans et il se prépare alors à faire l’une des plus grandes carrières mode au monde !
Michel Drucker : il fuit l’école à 17 ans !
Le présentateur de Vivement Dimanche, l’un des plus connus et plus appréciés des Français, n’a même pas son bac ! Michel Drucker quitte la maison familiale à 17 ans et décide qu’il s’en sortira autrement. Pari tenu pour celui qui est aujourd’hui journaliste, producteur et présentateur télé.
Son point fort ? Travailleur acharné, il dit lui-même : «Jusqu’à l’âge de 50 ans, je ne pensais qu’au travail. Je n’étais jamais là ; je travaillais quinze heures par jour et n’ai pas pris de vacances pendant vingt ans ». Une valeur sûre, si l’on n’a pas peur d’y laisser la peau…
Jean-Michel Aphatie, il arrête en 6ème
Devenu chroniqueur politique, le petit Jean-Michel Apathie n’a pas toujours été un pro de la critique… A l’école, il en était même le premier à en souffrir : « Les profs n’ont pas perdu de temps avec moi. J’ai vite intégré que les études n’étaient pas pour moi. Ça a créé un sentiment d’infériorité qui a mis longtemps à se dissoudre. » En effet, le chroniqueur du Grand Journal a quitté l’école à seulement 14 ans, après avoir peiné pour obtenir son Bepc… ! A cet âge là, il commence à travailler dans l’épicerie que tiennent ses parents.
Son point fort ? La ténacité et l’envie d’apprendre : contre toute attente, il obtient finalement son bac à 24 ans, (soit après 10 ans) ! Un sacré coup de maître qu’il ne stoppera pas en si bon chemin. Jean Michel Apathie réussi par la suite les concours d’entrée de l’IUT de journalisme de Bordeaux, dont il est diplômé. Puis complète cette prestigieuse formation par une maîtrise en droit public de l’université de Pau. Un bel exemple de ce que l’envie et le courage peuvent nous permettre de réaliser…
Christian Estrosi : l’autodidacte de l’assemblée
Christian Estrosi est peut être le député-maire le moins diplômé de France. Adolescent, il a quitté le lycée pour se consacrer à sa passion : les courses de moto. Sans le bac en poche mais avec 4 titres de champion de France, ces détracteurs le surnomment le « motodidacte » !
Son point fort ? Le sport et l’esprit de compétition! C’est en 1983 qu’il devient adjoint aux sports du maire de Nice. A partir de ce moment, Christian Estrosi se fraye une place jusqu’à devenir ministre sous Nicolas Sarkozy.
Lily Allen, une vraie terreur !
On peut s’accorder sur le fait que la jeune Lily Allen devait être la terreur des proviseurs. Elle se fait renvoyer d’une dizaine d’écoles pour avoir bu ou fumé et abandonne le lycée à 16 ans pour travailler comme disquaire.
Son point fort ? Son point faible… Eh oui, la face rebelle de Lily Allen – qui lui valait à l’époque d’être la paria des lycées – fait aujourd’hui d’elle une star. Bien sûr, sa voix participe à l’ampleur de son succès, mais il faut bien avouer : une chanteuse qui n’a pas de caractère, on en connaît très peu…
Winston Churchill, un cancre brillant mais turbulent !
Son père lui aurait écrit « tes résultats scolaires sont une insulte à l’intelligence ». Winston Churchill, nous l’aurons compris, n’a pas bénéficié d’un soutient moral indéfectible. Brillant mais trop turbulent, il quitte l’école très tôt pour s’engager dans l’armée. Il réussira pourtant son rêve « laisser son nom dans l’Histoire ».
Son point fort ? Malgré de nombreux échecs scolaires, Winston Churchill montrera très vite « d’étonnantes prédispositions pour l’écriture, un goût très prononcé pour les joutes politiques, une passion dévorante pour les armes ainsi qu’une excellente mémoire.» Mais, comme il le dit lui-même lors de son discours à la chambre des communes, le 13 mai 1940 « Je n’ai rien d’autre à offrir que du sang, de la peine, de la sueur et des larmes ! ». De l’acharnement au travail donc, pour l’homme politique britannique.
Nicole kidman : L’actrice surdouée
A Sydney, la jeune Australienne Nicole Kidman abandonne l’école à 16 ans : tout juste l’âge légal. La future actrice hollywoodienne venait de décrocher son premier grand rôle dans Calme Blanc, un film américano-australien.
Son point fort ? Elle est surdouée ! Et oui, il semble que la jolie rousse ait un QI de 132 !
Daniel Pennac, des chagrins d’école au prix Renaudot
Il est lauréat du prix Renaudot 2007, la prestigieuse récompense littéraire. C’est son œuvre « chagrin d’école » qui lui vaudra une telle reconnaissance de ses pairs, et du public. Pourtant – c’est le sujet de son essai – l’élève Pennac n’était pas des plus brillants… Il affirme même avoir mis un an pour connaître la première lettre de l’alphabet !
Son point fort ? Il est soutenu et passionné. En effet, l’auteur en herbe bénéficie de tout le soutien de son père qui ne s’inquiète pas vraiment de ses difficultés scolaires. M. Pennac aurait assuré qu’à raison d’une lettre par an, son fils connaîtrait l’alphabet avant ses 26 ans ! De l’humour donc, mais aussi beaucoup d’envie : Daniel Pennac est avant tout un amoureux inconditionnel des lettres.
François Pinault, 7ème fortune de France, il méprise l’école…
A la tête du groupe Pinault Printemps Redoute, François Pinault est aujourd’hui la 7ème fortune de France. Homme d’affaires accompli, il est, à 78 ans, assis sur un pécule de 6 milliards d’euros ! Pourtant, lui non plus, n’a jamais eu son bac. Il méprise les études et quitte l’école à 16 ans…
Son point fort ? Courageux et audacieux, il mise toujours gros : ce qui le fera connaître, c’est un coup de maître réalisé au milieu des années 70…en spéculant sur du sucre ! Mais François Pinault, c’est aussi la force du carnet d’adresse. Le financier saura au cours des années s’entourer de personnes haut placées, comme son ami, le président Jacques Chirac.
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